INCLUSION et PRATIQUES DE POUVOIR : la colonisation à revisiter

Membres du groupe
martin risa irene stéphanie

Ce groupe de travail a réflechi à la notion d'inclusion dans les pays des SudS et ainsi à comment cela s'articule avec le processus de colonisation.

Nous entendons ici la colonisation comme la detention du pouvoir pour avoir le droit d'exclure.
En même temps nous questionnons le concept de "durabilité" comme un terminologie trop génerale, pas facile à saisir, parce que son acception serait changeante selon les contextes. Nous croyons aussi que cette notion est associée aux grands chantiers des projets de développement internationaux, des bailleurs de fonds, et nous sentons la nécessité de le ressignifier pa rapport aux acteurs et actrices du terrain.

À faire la liaison entre colonisation et durabilité, nous sembleêtre l'idée de développement, également employée par les acteurs/actrices de la coopération internationale, normalement pour transmettre aux Suds des modèles occidentaux, qui deviennent hégemoniques. Le développment semble être l'attente d'une certaine "modernité" ce concept aussi très chargé par un imaginaire occidentale qui reunit la possession du pouvoir et l'état de progresss.

Atteindre la "modernité" devient donc pour les pays dits des SudS, une forme d'attendre l'égalité avec les NordS.

Pour mieux développer ces réflexions nous avons enchainé 5 questionnements:
1. Pourquoi parler de la colonisationb quand on réflecit à la ville durable (das les Suds)?
- La colonisation est assimilé comme une pratique de l'exclusion, qui génere la ségregation spatiale, sociale et juridique

2. Pourquoi après l'indipendence politique,les pratiques du pouvoir heritées de la colonisation se réproduisent dans les Suds?
- les élites au pouvoir sont formes par un modèles d'éducation occidental (ce que nous appelons la colonisation de la pansée). Ces élites réproduisent donc des modèles de gouvernances, des villes et des pratiques urbaines ressemblent les modèles des Nords. Cette dynamique produit de l'exclusion.
Ces pratiques qui réproduisent la colonisation au sein de sa propre populationb ("colonialidad del poder" annibal quijano) sont assimilées comme propres par les populations anciennemet colonisées qui contuinnent à les metre en oeuvre.
La création des immaginaires, associées à ces formes d'exercice du pouvoir, impactent les façon de penser et produire la ville et l'urbain. Un exemple en ce sens pourrait être la Cité renaissance qu'on a visité à Lomé (2éme école de la cosav). Elle nous semble être la réproduction d'un modèle de modernité, importé des Nords, et pas de tout adapté au contexte local. La volonté de le réaliser nous semble associé à cette idée de progress.

3. est-ce qu'on peut questionner le regard du Nord vers les Suds et viceversa concernant l'idée d'être en avance ou en retard par rapport à l'idée de progress forgée au Nord?
- Le développement = mhyte qui s'éloigne quand on se rapproche.